44 belles pages
Pour ce douzième numéro du LÉZARD, José PARRONDO nous offre une sublime couverture, mais pas que… Monsieur MIKO nous brosse un portrait de La Police, ou plutôt de Praticiens de l’Infernal. Nous continuons de publier la suite des 7 vies du dévoreur d’ombres, et le cinquième chapitre des fantômes d’Aristophane (dont ce sont certainement les dernières pages publiées de son vivant).
Luisa DIBONNA nous livre un passionnant dossier sur l’autobiographie en question.
Extrait : « Les récits autobiographiques de Joe G. PINELLI, outre leur qualité graphique, se distinguent par la place qu’y occupe la représentation de la sexualité. Le journal de Fabrice NEAUD, en prenant le risque d’une sincérité qui l’expose, réussit une émouvante description de la difficulté de vivre l’homosexualité dans une ville de province. Le meilleur de l’autobiographie oublie souvent d’être bien convenable. Comme la fiction, dont la liberté est généralement considérée par les pouvoirs répressifs comme une atteinte permanente à la sureté de l’état, l’autobiographie est alors accusée de subvertir l’ordre moral ».
Au sommaire de ce numéro :
- Les sept vies du dévoreur d’ombre par Jean-Pierre DUFFOUR
- Sur les traces de Pierre La Police par Monsieur MIKO
- Les sept fantômes V par ARISTOPHANE
- L’autobiographie en question par Luisa DIBONNA
- Inspecteur Brislam par José PARRONDO
